bernard super 500 sujet un grand bravo
Nombre de messages : 516 Date de naissance : 26/10/1948 Age : 76 Localisation : fina Loisirs : les oiseaux Date d'inscription : 12/12/2005
| Sujet: etre eleveur Septembre 30th 2008, 23:45 | |
| ÊTRE ÉLEVEUR | |
de toute façon ils nous font sentir mieux chaque qualvolta les rappelons.
Élever des uccellini, pour beaucoup peut être considéré un efficace antistress, un specie de « soupape de soulagement », pour autres il est un excellent et salutaire passe-temps.
Pour certains elle est une sorte de « défi » contre si des mêmes ou contre les autres, pour divergés autres elle est pure passion, mais pour tous il est sûrement motive d'orgeuil.
L'Éleveur « vit » son élevage ; il connaît ses volatiles un à un, on sent une partie intégrant et il en perçoit les sensations.
Entre l'Éleveur et ses animaux on instaure un lien spécial et il est en éprouve le fait lorsque en entrant en élevage le « trillio » ou le « cicaleccio » de nos amis se fait divergé, plus d'allegro et squillante ; presque à nous saluer ou en période d'expositions, lorsque après quelques jours de détachement, nous revenons en exposition et au passage parmi le cavalle, nos uccellini donnent l'impression de nous pouvoir reconnaître.
Être Éleveur ne signifie pas être détenteur.
Détenteur est qui tient un Canari dans une cage accrochée sur le balcon exposée au soleil, aux vingt et à la pluie et il s'attend que le pauvre volatile chante de joie, détenteur est qui acquiert des volatiles pour simple caprice pour ensuite lui lui en défaire après bref temps parce que je fatigue « d'élever », détenteur est qui voit dans les volatiles simples « animaux de revenu » et rien de plus.
Devant ces faits, l'Éleveur on sent offeso et fouetté, parce qu'il sait que pour l'opinion publique, il sera equiparato à ces individus.
Élever est tout ceci et peut-être quelque chose de plus et lorsque quelqu'un que nous il doit inevitabilmente cesser l'activité. le vide qui forme se porte en soi je voile de profonde tristesse comme s'elle nous était venue à manquer connaissant… un Ami de vieille donnée.
Il n'existe pas motive pour lequel on élève des uccellini d'affection ; ils existent plus plutôt une série presque infinie de causes qui peuvent varier d'individu à individu ; un specie de Syndrome pour laquelle l'unique thérapie connue consiste dans un Monde renfermé à l'intérieur d'une cage. |
Si peu de lignes imprimées sur un mensuel de « niche » peuvent porter un individu à un examen de conscience, beh ; après attentivement avoir lu j'articule du prof. Masse, apparu sur Italie Ornithologique de février, je dois sereinement reconnaître que si « target » était ceci, dans mon caso il a été pleinement rejoint.
Pas qu'avec ceci on doive arriver à une sorte de « Procès aux éleveurs », mais effectivement la fugace pensée sur l'intime « pour que » on élève des volatiles de cage jusqu'à maintenant pas à moi s'était jamais présentée.
Il est evident le fait, qui multiples est les facteurs qui induisent un être humain à élever des animaux d'affection ; parce que ceux-ci, en effets, sont pour nous des éleveurs nos volatiles.
Sûrement il est un quelque chose d'innato, quelque chose qui ne peut pas apparaître en âge plus adulte, mais qu'en réalité il était déjà inhérent dans nous sin de la fanciullezza.
Beaucoup des éleveurs en âge mûr, probablement ils se rappellent avec plaisent les ans où, encore gamins, on grimpait sur les arbr2 dans cherche de nids, la stupeur dans voir à leur intérieur les oeufs ou les petits, l'extrême circonspection dans le ridiscendere et laisser que la Nature continue son cours, peut-être en donnant une occhiatina de lorsque dans quand.
À combien de nous, maintenant des éleveurs sur l'« anta », n'aura pas arrivé de passer sous une siepe ou un arbr2 après un furieux temporel et trouver à terre un nidiaceo de merle ou de ghiandaia tout baigné et indirizzito en tant que le froid ; fiévreusement ramasser ce mucchietto de plumes baignées pour courir filé à de maison et de demander à notre Père quoi de faire dans cette circonstance et de voir ce Père que parfois il nous semblait tant de burbero, de s'entamer premuroso vers l'étable et de préparer un giaciglio de paille dans une vieille boîte de chaussures dans | |
lequel poser le petit implume pour qu'il puisse sont au chaud et au sec.
Passer les journées à chercher à rassasier ce bec eternellement ouvert pour ensuite le voir voler quelque temps après maintenant prêt pour affronter la vie.
Combien de de nous, encore enfant nous avons élevé les yeux au ciel pour suivre avec le regard le vol des Rondine ou nous étonner des dinanzi aux évolutions d'un vol Tu écartes ou simplement pour d'un Moineau perché sur une branche dans un froid matin.
Ce qui se sent il est un désir impulsif ; un feu qui « brûle dans » et qu'elle laisse derrière de lui les tizzoni ardents d'une spensierata giovinezza.
Quelqu'un réussit à raviver ces tizzoni et le désir revit en bas forme d'une cage recevant un petit couple de Canaris ou de « Cocorite » ; donnée nous en don pour fêter une quelque répétition importante ou bien acquise avec les économies de la « paghetta », mais ceci n'a pas de l'importance parce qu'à nos yeux, le Monde entier est renfermé dans cette cage.
Les vicissitudini de la vie, portent toujours à à des changements même radicaux, difficilement cependant à de scordano ces instants heureux.
Comme je disais d'abord, multiples ils sont les facteurs qu'ils induisent à l'élevage des volatiles d'affection ; sûrement liés à des faits qui nous ont accompagnés dans l'arc de la nôtre existence, mais que | |
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cougnol Membre tres super Actif
Nombre de messages : 330 Date de naissance : 13/03/1943 Age : 81 Localisation : la louviere bouvy Loisirs : canaris fife fancy,border,toupet allemand et indigène , timbres, Date d'inscription : 20/11/2006
| Sujet: Re: etre eleveur Octobre 16th 2008, 11:25 | |
| bernard | |
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